La maladie n’est ni cruauté, ni punition ; elle est en tout et pour tout, un correctif dont se sert notre âme pour nous indiquer nos défauts, pour nous éviter des erreurs plus importantes, pour nous éviter de provoquer encore plus de dégâts, et pour nous ramener sur le chemin de la vérité et de la lumière que nous n’aurions jamais dû quitter.
Edward BACH
Le docteur Edouard Bach et les élixirs floraux
Tout d’abord parlons de l’homme médecin homéopathe, bactériologiste anglais, diplômé en 1912. Il travailla sur l’immunologie et la vaccination, puis dans les années 1930 il se découvre un don avec le monde végétal et plus particulièrement les fleurs ou arbustes ; En présence de ceux-ci, ses pensées négatives disparaissent pour laisser place à du positif. Il décide donc de quitter la médecine pour consacrer ses recherches sur ses élixirs floraux, inspiré de ses précurseurs Hildegarde de Bingen, Paracelse et Hahnemann. Entre 1930 et 1936 il découvre 38 quintessences qui corrigent nos états émotionnels négatifs qui correspondent aux 38 fleurs de Bach existantes de nos jours.
Il décède en 1936 en ayant confié son travail à ses assistants Nora Weeks et Victor Bullen qui préparent les fleurs et les firent découvrir au monde entier.
Le Dr Bach, par ses fleurs, repousse la causalité de la maladie. Les états négatifs de l’être vont au-delà de l’individu et toutes pensées négatives se répercutent sur le corps physique.
Chaque fleur agit uniquement au niveau psychique, Bach extrait directement l’énergie des fleurs de leur forme physique pour pouvoir aider l’homme vers un mieux-être. Ces formules sont totalement inoffensives ni incompatibles avec d’autres formes de thérapie.
Son vœu le plus cher fût de mettre ses remèdes à la portée de tous à titre préventif et curatif. Comme en naturopathie Edouard Bach était pour la responsabilisation du consultant face à ces troubles.
Je finirais avec les mots de Bach : « GUERIS TOI TOI Même »
